SHABZBEATS
Wavemakers
Eh, question pour un trafiquant: Bonheur ou ton honneur?
Pas de réponse à ta question, dans la tess, on vit, on meurt
Prendre des risques, c’est illégal mais rien à foutre, ça l’fait quand-même
On l’fait quand-même, ça l’fait quand-même, eh
J’sais pas combien ça m’coûte, tout ça, pourvu qu’ça dur
Et ceux qui s’en fouter, maintenant, on les attirent
Tout n’est pas violet, faudra sortir les cojones
Veulent savoir qui on est, faudra pas faire les Dieudonné
J’ai mis trois points dans le panier, trop de distances, ils sont dégoûtés
Coup de folie dans la soirée, un boug en sang, ça finit en couteau
Et maintenant y a des enfants, j’ai des mélo’ pour vous, écouter
Impossible de faire changement, j’ai le brassard, c’est moi le buteur
Eh, ne fait pas genre, tu m’aimes bien (m’aimes bien)
Ce que j’ressens, tu l’ressens au fond d’toi
C’est triste à dire, devant les gens, on s’aime bien (s’aime bien)
Ce que j’ressens, tu l’ressens au fond d’toi
Laisse-moi t’montrer un peu
Laisse-moi t’montrer qui j’suis, laisse-moi faire le plein
Laisse-moi faire les comptes, c’est notre avenir qui dépend
Laisse-moi t’montrer qui j’suis, laisse-moi faire le plein
La vie nous rends meilleur quand on a rien programmer (programmer)
On le voit dans tes yeux si t’as toucher cocaïne
Quand je sors de la zone, j’entends « Tiako’, Bomayé » (Bomayé)
La vie nous rends meilleur quand on a rien programmer
Eh, canon sur les épaules (Yeah, yeah, yeah, yeah)
Pourquoi avoir besoin d’eux? (Pourquoi avoir besoin d’eux?)
La nuit pour les étoiles (yeah, eh)
Ou bien, pour voler la recette (ou bien)
Toute l’année, ça éteint des corps
Vite, l’adresse, tu vas casse un tour
Guette ma pièce, elle est pas ti-sor
Grosse kichta qui dépasse, encore, qui dépense encore en bas
Si ma vie, je la fais sans toi
En aucun cas, j’suis rien sans toi
Venu, reparti, nourrit (j’suis v’nu, j’ai rien demander)
Le gros salaires d’un plug d’NBA (yeah)
Chaque jour, obligé d’courir
Le son de l’Afrique à éblouir avant que le mundo vienne s’écrouler
(Avant que le mundo vienne s’écrouler)
Ça fait longtemps qu’je n’ai plus pleurer
(Tant que les êtres sont pas déplorer)
J’avais toujours les ébats pourrit
(J’vais leur mettre un coup d’vapo’)
On dort tard, on s’réveille tôt
Rien à craindre, j’suis pas une taupe
Si tu pense que j’suis comme les autres (pas des autres)
Ne fait pas genre, tu m’aimes bien (m’aimes bien)
Ce que j’ressens, tu le ressens pour toi
C’est triste à dire, devant les gens, on s’aime bien (s’aime bien)
Ce que j’ressens, tu le ressens pour toi
Laisse-moi t’montrer un peu
Laisse-moi t’montrer qui j’suis, laisse-moi faire le plein
Laisse-moi faire les comptes, c’est notre avenir qui dépend
Laisse-moi t’montrer qui j’suis, laisse-moi faire le plein
La vie nous rends meilleur quand on a rien programmer (programmer)
On le voit dans tes yeux si t’as toucher cocaïne
Quand je sors de la zone, j’entends « Tiako’, Bomayé » (Bomayé)
La vie nous rends meilleur quand on a rien programmer